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jeudi 20 octobre 2011

VOUS ALLEZ ADORER LEGOGO...



:: VOUS AIMEZ LE FRISÉ, VOUS ALLEZ ADORER LEGOGO...


Les mercenaires
corpo-suprémacistes s'enfargent à l'entré du poste d'abuseur en chef de la nation d'idiots du village !
 
Le magazine britannique The Economist – la bible des milieux d’affaires anglo-saxons – a bien compris que « l’objectif de la Coalition pour l’avenir du Québec est de persuader les Québécois de mettre de côté la question politique centrale de la province » et que Charles Sirois, décrit comme « un important banquier au Canada », s’est porté garant, devant les milieux financiers de Toronto, de cette mise au rancart de l’indépendance du Québec, à titre de président du conseil d’administration de la Banque Canadienne Impériale du Commerce.

De la Loi sur la Clarté au jugement sur le Kosovo


Après la Grande Frousse de 1995, le Canada a cherché, à défaut de pouvoir l’interdire, à déterminer et contrôler les conditions de la tenue d’un futur référendum avec l’adoption de la Loi sur la Clarté. Dans son livre, Le Québec otage de ses alliés (VLB Éditeur-2003), la sociologue Anne Légaré, qui était la déléguée du gouvernement du Québec aux États-Unis au moment du référendum, affirme que la Loi sur la Clarté résulte en grande partie des pressions exercées par Washington sur le Canada.


Déjà, dans ses Mémoires (Behind The Embassy Door, Canada, Clinton and Quebec), l’ambassadeur américain James Blanchard faisait part de l’étonnement des fonctionnaires du Département d’État américain devant le fait que le gouvernement canadien ait laissé le Québec tenir un référendum sur son avenir politique.


Vue dans cette perspective, il n’est pas surprenant que la campagne de promotion de la Coalition de Sirois-Legault ait été concoctée dans les bureaux de l’empire Quebecor. Subitement, sont apparus des sondages Léger Marketing présentant Legault, avec pleine photo en page frontispice du Journal de Montréal et du Journal de Québec, comme le « sauveur du Québec », avant même qu’il ait émis la moindre idée, sauf, bien entendu, celle de mettre au rancart la question de l’indépendance du Québec.


Que cette campagne émane d’un empire qui a mené une guerre sans merci à ses syndicats et qui ouvre les pages de ses publications aux ténors des différents courants de la droite québécois n’explique pas tout.


Le propriétaire de Quebecor est aussi de mèche avec le Premier ministre du Canada. L’ancien directeur des communications de Stephen Harper, Tony Teneycke, dirige Sun Media, le volet canadien-anglais de l’empire Péladeau, qui a mené campagne, tambour battant, pour les Conservateurs lors de la dernière élection fédérale. Dans le portrait que le magazine L’Actualité a consacré à Pierre-Karl Péladeau (octobre 2010), Brian Mulroney, président du conseil de Quebecor, a décrit PKP comme un « Québécois très fier qui voit un rôle pour le Québec au Canada et en Amérique du Nord ». Il aurait pu ajouter, « et qui veut, avec le tandem Sirois-Legault, rendre le ‘‘separatism irrelevant’’ ».


La mission de Sirois-Legault : détruire le mouvement souverainiste

http://spqlibre.org/default.aspx?page=44&NewsId=190


:: Pour la procession d'opportunistes qui dansent en ligne pour 'combler le vide' démocratique au qwebec ;)

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=205104042886437&set=a.103732429690266.5479.100001605282488&type=3&theater

Source :   DiploTocus


Et on peut en dire tout autant de l'autre groupe qui contrôle l'information au Québec :  Gesca de Paul Desmarais...

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LE DEVOIR  -  1910-2010
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DEMAIN РHymne au Qu̩bec
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« Ce qui nous laisse petits,
    c'est la peur de devenir grands »
Jean-Luc Dion
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« On va toujours trop loin pour les gens qui vont nulle part »
Pierre Falardeau
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« Quand nous défendons le français chez nous,
ce sont toutes les langues du monde que nous défendons
contre l'hégémonie d'une seule. » 
Pierre Bourgault
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« Aucun peuple digne de ce nom dans le monde
n'a jamais craché sur son indépendance.
   Le peuple québécois serait-il si différent des autres ?
   Son état de peuple annexé et soumis serait-il définitif ?»
Jean-Luc Dion
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